Bukavu : Le chef de quartier Nyalukemba met des nouveaux mécanismes pour lutter contre l'insécurité dans son entité
Ces mécanismes consistent à une sensibilisation de la population, l'appelle à n'est pas paniqué car la panique c'est parmi la première voie à l'insécurité.
Le chef de quartier Nyalukemba Monsieur KAJIBWAMI Gulain demande à la population de sa juridiction de dénoncer tout citoyen qui continue à détenir des armes dans sa maison, car beaucoup de mineurs ont démoli plusieurs dépôts d' armes au camp saio et sont en possession de ses armes.
Avec la collaboration des cadres de base du quartier Nyalukemba, nous avons récupéré 201 armes, des tenues militaires se trouvant dans le quartier Nyalukemba. Tous ces effets militaires récupérés se trouvent déjà entre les mains des autorités de la ville de Bukavu à l'occurrence du commandant François qui est basé pour le moment à la 33ème région militaire, le Colonel Julien qui est à l'ANR.
Malgré le ramassage des munitions (armes et tenues) il y'a d'autres citoyens qui continuent à garder et à se promener avec des armes pour traquer, intimider la population et continuent à sème l'insécurité dans cette entité.
Le chef de quartier Nyalukemba Monsieur KAJIBWAMI Gulain appelle la population des avenues ci-après :
1. HEWA BORA 1 et 2 ;
2. IRAMBO 1 et 2 ;
3. ALBERT KAYABO ;
4. EVARISTE BAGANDA.
Par ailleurs, il insiste sur la dénonciation de tout cas suspect, et toute personne dans ces avenues qui détient d'autres armes ou effets militaires et appelle la population à informer le chef de quartier partout où se trouve ces malfrats pour éviter d'être victime à l'avenir et lutter contre tout ces barbaries orchestrées par nos jeunes.
Le chef de quartier NYALUKEMBA appelle aussi la population de se procurer des VUVUZELAS, LES SIFFLETS et d'autres instruments qui peuvent alertés à quand d'attaque des bandits à main armée dans son entité.
Signalons que, le chef de quartier Nyalukemba Monsieur KAJIBWAMI Gulain continue à appeler la population d'être vigilants car nous sommes dans une guerre, et que ce n'est pas le moment de règlement des comptes.
Par la Rédaction
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