Éducation : Le Complexe Scolaire La Lune de Bagira clôture l’année en célébrant ses finalistes et présente une nouvelle école

Le Complexe Scolaire La Lune de Bagira a organisé une double cérémonie d’intégration des élèves finalistes ce jeudi 26 juin 2025. L’événement a marqué la fin de l’année scolaire 2024-2025. Les enfants de la maternelle qui passent au primaire, et ceux du primaire qui rejoignent le secondaire, ont été accompagnés de leurs parents pour recevoir leurs bulletins.

La Directrice de l’école maternelle a présenté un bilan satisfaisant. Le taux de réussite est de 100 %. Elle a salué l’implication des institutrices et la collaboration avec les parents tout au long de l’année. Une passation symbolique a eu lieu entre la direction de la maternelle et celle du primaire, marquant la transition des élèves vers un nouveau cycle.

Le président du comité des parents a félicité les familles qui ont tenu jusqu’à la fin de l’année scolaire, malgré les difficultés économiques liées à la crise dans l’est de la République démocratique du Congo.

Le promoteur du complexe scolaire, Désiré Bayongwa, a remercié les parents pour leur fidélité et les enseignants pour leur engagement. Il a profité de cette occasion pour présenter une nouvelle école affiliée au complexe : le "Complexe Scolaire Les Héritiers d’Afrique". Cette école ouvrira ses portes dès l’année prochaine, avec des cours organisés dans l’après-midi.

Les parents présents ont salué cette initiative qu’ils considèrent comme une réponse aux besoins croissants en matière d’éducation dans la commune de Bagira.


Par Gaspard LWENDO 

Comments

Popular posts from this blog

LIKASI/Un réseau mafieux dénoncé : le Président de l’ASBL FOBAC alerte sur les activités d’un citoyen grec dans le Haut-Katanga

Des notables de Fizi échangent avec le Maire adjoint de Bukavu sur le développement constructif

RDC : Les ressortissants du Kivu réfugiés à Kinshasa et Lubumbashi passent par les cachots pendant deux semaines avant d'être relâchés sous une amende. Christian BAHATI FOBAC dénonce cette stigmatisation